L'école du Dahlia Noir
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 L'histoire du mépris [Ulrich]

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Noah Higgins

Noah Higgins


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MessageSujet: L'histoire du mépris [Ulrich]   L'histoire du mépris [Ulrich] Icon_minitimeVen 20 Nov - 4:41

|| L'histoire du mépris ||


L’histoire à quelque chose de passionnant.

Non je vous assure.

Pour une personne comme moi, qui n’a aucune passion pour rien, aucun intérêt pour ce qui touche un tant soit peu la scolarité, l’histoire me semble être la seul matière qui m’apparais comme étant une matière passable, m’apportant un peu de plaisir dans ma vie platonique de collégien.

Bien évidemment, l’histoire peu être une partie de plaisir, mais seulement si nous somme accompagné d’un professeur compétant, chose qui me semble en vois d’instinction (Ou n’y à-t-il jamais existé de professeur compétant ?) et d’un peu d’intérêt pour les récits, l’histoire peut s’avérer être une matière pouvant attirer légèrement mes centres d’intérêts. Raison pour laquelle c’est surement le seul cours dans lequel j’ai monté de niveau depuis ma deuxième année dans ce taudis.

Seulement, voyez vous, en ce moment ce n’est pas le cas. Non seulement les cours sur l’Amérique s’avèrent être d’un platonique lassant, notre professeur, ce bon vieux Monsieur Walter, aussi rondelet sois t-il, rassurez-vous je n’ai rien contre les personnes à problématique d’embonpoint (Je l’ai envi presque1), se retrouve à posséder une tonalité de voix neutre et endormante, rendant la chose difficile à suivre.

Et pour aider le tout, il est en retard. Peut-être bien que l’embonpoint a finis par achever notre pauvre Monsieur Walter à la santé cardiaque qui laisse à désirer2. Il me serait SI regrettable de devoir manque l’un de ses SI passionnant cours d’histoire.

Malheureusement, Andrew, ce cher directeur qu’est O’connell, ma strictement interdit de laisser tomber mes cours et ce, sous plusieurs menaces des plus désagréables. Et je vous assure qu’il n’y a rien de plus déplaisant que les menaces fondé par ce cher directeur.

Je me retrouve alors coincé à devoir attendre, chose qu’il ne m’est pas coutume de faire, ce vieux rondelet de professeur avec serte beaucoup d’impatience. Moi qui avait l’intention de m’éclipser subtilement hors de la classe question d’aller glander plus loin, mes plans son à l’eau, merci cher directeur3.

Je passe mes longues minutes d’attente à gratter encore et encore mon crayon contre une fente légèrement creusée sur mon bureau, la tête lâchement écrasé contre ce dernier, écoutant de manière distraite et désintéressé les placotages de mes précieux camarades de classe. Je vous avouerais les mépriser plus qu’autre chose. Aucun d’entre eux ne me semble digne de ma confiance, tous des gamins au cerveau ramolli par des choses anodines et sans intérêts, tel un minuscule poids vert desséché.

Dire que peu importe sur quel niveau je me retrouve autant en deuxième dans certaine matière qu’en cinquième en histoire, le QI mentale semble le même d’un niveau à l’autre. Comme si tous s’égalisaient mentalement pour vivre dans cette harmonieuse ferme à vache.

Plusieurs, même beaucoup trop, me fond penser à des chèvres ou encore à des porcs. Rien dans le cerveau tout dans le broutage de gazon. Franchement, quelle vie pénible. Et moi qui me retrouve pour la troisième année au niveau des poules et des coqs, galère. Ce n’est pas par intérêt ni même parce que j’en suis incapable, je dirais plutôt que ma santé mentale et mon désintérêt totale de la vie en générale me rend inapte à passer mes cours. Si seulement J’y allais plus souvent. Au moins pour les examens, je passerais surement.

Seulement mes crises de nerfs aussi nombreuses soient-elles me rendre instable et, disons…légume. Il est certain que décrire de cette façon posé et dans un calme plat mon attitude explosive, je parais comme étant le plus insignifiant des être sur terre, mais franchement vous êtes loin du compte. Par exemple, regardez Noäh. Par le simple fait qu’il possède un nom similaire au mien mais doté d’un espère de décoration affreuse sur le dessus de son A, me donne envi de le frapper juste à voir sa tronche de chose qui tente de faire ami ami avec tout le monde. HO QUE NON MERCI…..

Et puis regardez moi cette espèce de Rouille Sauvage, une espèce d’animal constamment en rut entouré de ça bande de femelle en chaleur. Rien de plus désagréable que de voir une femelle ce frotter comme une espèce de jouet sexuel sans véritable attrait. Franchement je ne vois pas l’intérêt qu’il porte à cette bande de gonzesse sans méninge. À part le fait qu’elle ne possède aucune cervelle bien évidemment, n’empêche que je ne trouve pas l’utilité de traîner avec des choses pareilles. C’est plus nuisible et encombrant qu’autre chose selon moi.

Je ne connais aucun nom dans tout ce tas de femelle, tout simplement parce que j’en ai un dégout profond. Je dois avouer que parmi les garçons certains attirent l’œil et l’attention plus que d’autre, mais c’est plutôt pour les observés se ridiculisé que par sincère souci pour leur pauvre existence.

Je lâche finalement mon grattage, regardant avec peu d’attention le trou formé par mon impatience. Un trou plutôt énorme vue l’épaisseur du bureau. J’observe mon crayon d’un orange brûlé avec un léger regret, il est définitivement destiné à la poubelle. Je l’aimais ce crayon. Je lâche un soupire d’ennuis couvert par une espèce de gloussement étrange venant de l’avant. Une bande de mégère qui ce sont attroupées en tapons pour parler maquillage et potin. Quel ennui. Monsieur le directeur je suis sur le point de vous défier car mon impatience ne me permettra point d’attendre une minute de plus dans cette classe de dégénérer.

J’attrape mon sac et le remonte lâchement sur mon épaule, prenant la direction de la porte passant devant la bande de greluche qui ce mettent à ricaner abondamment à mon passage. J’hésite un moment entre attraper la première du bord par les cheveux pour l’enfoncer sur son bureau emplis de cosmétique ou lui enfoncer moi-même son rouge-à-lèvre dans le fond de la gorge, mais me retiens de justesse, passant mon chemin d’un trait faisant fis de leur
pénible existence. Il vaut mieux m’en tenir à la punition qui m’attends en sortant de cette pièce infernal que d’attirer un ne peu plus les ennuis. Et puis après tout, je trouverais bien un règlement en rapport avec les retards des professeurs pour me démerder de ma situation actuelle. Je passe tout juste devant le bureau du professeur et attrape la poigner avec soulagement, vivement la liberté.

…..

…..

…..

- Galère.

Mon règne ne semble pas vouloir aller plus loin que le pas de la porte malheureusement. Je me retrouve face-à-face avec une espèce de … machin à lunette inconnue. Bien habillé, y’a pas plus propre, cheveux placé de manière quasi-stratégique, l’air droit et sévère. Calomnie qu’est-ce que c’est que cette chose. Misère de misère que ma vie me semble devenir soudainement plus pénible à la vue de son regard hautain et dédaigneux que possède cette individu pour ma petite personne. Ton « un pouce et demi » de plus que moi ne te donne pas nécessairement le droit de me dénigrer, machin à lunette. Je fronce les sourcils, c’est la gère du regard. Qui aura le dessus ? Je n’ai très certainement pas l’intention de me laisser abattre par son air de rat de bibliothèque frigide.
________________________________________________________________________
1.seulement sa superficie à quelque chose de frappant comme une espèce de montgolfière miniature ou un trou de beigne bien chaud et dodu près à manger Je vous assure qu’il n’y a rien de plus troublant que de vous prendre en train de vous imaginé manger votre professeur qui semble en fait être un beigne avec des pattes grouillantes.

2.Et non je ne crois pas au fait que l’un de nos élèves est une tendance cannibalisme, bien que l’esprit de certain me semble assez tordu pour le prendre pour un véritable beigne géant.


3.Voyez que je ne porte pas un amour profond envers mon très cher directeur, mais il n’en reste pas moins l’un des seuls hommes (personnes) à qui j’apporte mon respect.
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