Un nouveau départ

D’un pas sur et la tête haute Morganna entra dans la cours de sa nouvelle école. Après avoir fait quelques mètres, elle se figeât devant la grande porte de cette académie. Elle déposa ses lourds sacs de couleur noir tout comme sa robe. Morganna portait quelque chose de raffiné comme à son habitude. Sa toilette était composé d’un tissu léger fait pour les soirs d’été, de la dentelle décorait le bas de sa robe ainsi que les rebords de son décolleté. Cette robe rehaussait très bien ses courbes ainsi que la pâleur de sa peau. Même si le vent faisait rage à l’instant même elle n’en faisait rien et tassait nonchalamment les mèches de cheveux bleues qui collaient à son visage. D’un regard totalement vide elle fixait la porte. Morganna n’avait pas froid, elle était totalement habituée de vivre dehors et de subir la nature pour ce quelle est. Après être rester complètement figé durant près d’une minute, la jeune femme poussa un long soupir, prit le bas de sa robe noir délicatement d’une main et poussa enfin cette barrière entre l’intérieur et l’extérieur de l’édifice de son autre main. Un grand courant d’air chaud vint remplacer immédiatement l’air froid du dehors.

* Humm…. Petit contraste, comme un retour à la vie. Une nouvelle école, de nouveaux gens. Une autre histoire à inscrire à mon carnet ainsi que d’autres gens à décevoir… Aaa que de positivisme en vue, à la bonne heure! Même si, je dois admettre que… cet endroit m’a l’air bien et… très loin de tout ce que j’ai pu connaître auparavant, du moins ces ce que la façade présente. Il y a aussi que je dois encore reconstruire tout ce qui vit autour de moi humm…. A, et puis, de tout manière, il ne me suffi que de voir si cet endroit me permet de rester un bon bout de temps sans être dérangée. Ensuite, je verrai si j’ose réellement m’installée dans cette école. *

Tout en réfléchissant à son passé et à son futur, Morganna s’imprégna de l’ambiance, de l’odeur et de tout ce qui l’entourait au moment même. Les couleurs du bois, la chaleur qui colle à sa peau, les cadres fins et riches cloués aux murs. En une fraction de seconde, la porte se referma dans un coup de vent violent derrière elle. Le « clac » résonna d’un bruit franc dans la salle durant quelques instants. Son visage changeât aussitôt de forme et de couleur. Tout en agrippant sont collier, tic naturel lorsqu’elle est angoisser, elle se dit.

*Oh… peut être que ce bruit a alarmé les gens d’un nouvel arrivage… arg, moi qui voulait passée inaperçue, j’étais trop concentrée à penser à toutes ces choses inutiles. Honte à moi! J’aurais très bien pu retenir cette porte. Ah oui! Mes bagages sont encore dehors… pauvre folle!*

Elle fit volte face, poussa la porte par où elle venait à peine de rentrer et alla chercher ses bagages laissés seuls dehors sur les dalles. Une fois ces bagages en main, elle retraversa cette porte et commença à marcher vers le centre de la pièce d’un pas rapide. Ses talons haut firent résonner de petit claquements dans la salle ainsi que ses bracelets qui laissait un petit tintillement derrière eux. La jeune femme regarda un instant autour d’elle pour observer les couloirs qui débouchaient sur cet immense hall. Morganna prit quelques secondes pour réfléchir à quel couloir pourrait bien mener à un endroit paisible et peut-être même son dortoir.

*Si j’entends un pas venant d’un de ces couloirs je pars en sens contraire…
D’ailleurs, cet étrange directeur ne ma rien spécifié pour mon arriver… Pas de plans, ni de lettre parlant des dortoir ou encore de mes cours. J’aurais bien apprécier savoir s’ils sont partagés ou non ces chambres. Tout cela est bien étrange. Peut-être sait-il déjà que je suis présente en ces lieux.*

Tout en réfléchissant de plus en plus, Morganna ce qui la plongeât dans un état semi-lunatique elle fit quelques pas lents en direction d’un couloir qui était à sa gauche.

Je m’étais levé ce matin avec l’intention de ne rien faire du tout. Vous savez ces journées où tout semble parfaitement calme, où vous n’avez rien de spécial à faire, pas de cours, pas de devoirs, pas de mauvais tours à jouer au personnel de l’école ou à ses étudiants. Rien. Je comptais monter sur le toit et faire un brin de bronzette. Et ce même si monter tous les escaliers jusque-là représentait une activité en soi. Peu importe. Je veux prendre du soleil, même si le vent qu’il fait au-dehors me hurle de rester bien caché à l’intérieur, tapi sous mes couvertures. Non, non et non. Jamais les éléments n’auront raison de moi. Le soleil est radieux et je compte bien en profiter, pour une fois qu’on ne m’a pas collé en retenue. Je grimace tout en marchant. Ce n’est quand même pas passé loin, avec cette vieille folle de la bibliothèque. Je n’étais même pas dans les locaux quand j’ai poussé mon cri primal, mais elle trouve le moyen de m’emmerder avec ça. Vieille conne. Vieille pomme ridée. Vieille … Oh je ne parle pas de son assistante. Son assistante est mignonne à croquer, petite, délicate, blonde aux yeux bleus. Un ange quoi. Remarquez … pour ce qui est des anges blonds, la nouvelle peste qui est arrivée a beau être mignonne, elle est loin d’être un ange. Petite garce, je songe. Je ne lui ai pas encore adressé la parole, mais j’ai bien vu comme elle se comportait en classe. Et puis cette grosse nulle … arriver à l’école à la période des examens finaux … c’est trop naze. Elle l’a bien mérité.

Un claquement violent attire mon attention vers le hall. J’y vais ou pas… Y aller … ou simplement bifurquer pour voir et ensuite prendre un escalier et monter sur le toit … Curieux, je bifurque de ma route et me dirige vers l’imposant hall d’entrée. Je n’ai jamais aimé cette pièce. Quand le directeur m’a pris sous son aile, c’est la première chose que j’ai vue. Ça et la porte … Maudite porte. Je ne me presse pas pour atteindre le hall. Je l’ai dit : c’est une journée relax ! Je ne vais pas me faire chier à me dépêcher. Mais même à allure relax, il faut croire que je vais trop vite. Quand j’arrive dans le hall, je vois une ombre se défiler lentement dans le couloir de gauche. Bon … j’ai vu ce qu’il y avait dans le hall. Quelqu’un qui est rentré, qui a claqué la porte et qui est parti. Je peux y aller maintenant … Non ? Nah. Je suis curieux. Je m’avance à pas feutrés, sans faire le moindre bruit. Je suis à près de trois mètres derrière une jeune femme à la chevelure bleue. Une nouvelle. Je m’en souviendrais si j’avais déjà vu un derrière de tête pareil. Je la suis sur une bonne distance sans qu’elle ne se retourne, ce qui me permet de l’observer à mon aise. J’adore la fin de l’année scolaire. Les jupes commencent à raccourcir, les tissus se font plus fins et plus légers et il devient facile de deviner et de désirer ce qui se cache tant bien que mal dessous. J’ai déjà connu une fille qui portait des pulls en plein été, alors que moi j’endure à peine ma propre peau dans la saison chaude. Je me permets d’apprécier les courbes de la jeune femme. Elle est petite, il y a bien plus qu’une tête qui nous sépare en terme de taille. Et elle est frêle. J’aime les femmes frêles. Pas les espèces de bêtes musclées comme Kathleen. J’aime les femmes vulnérables, qu’on peut casser en forçant un tout petit peu.

Bon, il serait temps qu’elle s’arrête de marcher. Je viens de me souvenir que je voulais aller sur le toit et si je continue de la suivre sans rien faire, elle va m’entraîner à l’autre bout du bâtiment. J’accélère un peu mes pas et l’atteins très rapidement. Je pose une main ferme sur son épaule, la forçant à s’arrêter.

-Yo, je lance en guise d’introduction.

Toujours perdue dans ses pensées à propos de la lettre du directeur qui lui semble de plus en plus louche, elle continue à marcher tout droit dans le couloir d’une manière distinguée et un peu lente vu son état semi-lunatique. Puis durant sa rêverie elle fini par remarquer qu’il y avait bien et bel une présence qui l’avait repérée, vu le claquement de la porte qu’elle avait causé avec sa magnifique inattention du moment. Elle avait bien et bel entendu des pas dans l’écho faible du hall. Après un court instant Morganna prit conscience que cette personne ce rapprochait de plus en plus d’elle. La jeune femme complètement découragée que son entrer bruyante, malgré elle, fut remarquer par quelqu’un. Elle n’osa pas engager un pas plus vite pour ne pas faire preuve d’impolitesse envers la personne qui la suivait. Malgré tout elle se permis de laisser échapper un léger soupir presque inaudible et afficha un air un peu triste, mais toujours avec une teinte songeur.

*C’était sur…. Je le savais! Aaa… Pourquoi n’ai-je pas porter un tout petit peu d’attention à cette foutue porte! N’importe qui, un peu curieux, où près du hall serait venu voir d’où provenait ce bruit. Bon, de toute façon, il est trop tard pour y remédier et j’aurais rencontrer cette personne tôt ou tard sûrement! Allez Morganna, il va quand même falloir que tu aborde certaines personnes pour pouvoir vivre ici… Alors il vaudrait mieux que tu te conditionne immédiatement, ce n’est pas un lieu de paix et un oasis de silence, c’est une école, une simple école…. Alors laisse cette personne venir à toi peut-être n’est-elle là que pour venir t’accueillir ou bien t’aider à trouver ta chambre, après tu pourra te reposer et réfléchir à ta nouvelle vie.*

Morganna pris un grand respire et garda son rythme de marche tandis que la personne avançait de plus en plus rapidement derrière elle pour la rattraper apparemment. C’est mèches de cheveux d’un bleu éclatant et surtout rebelles lui tombaient sur la figure à chaque pas. N’ayant pas de main libre pour les replacer elle ne devait pas avoir l’air très accueillante le visage à moitié caché. Son regard était d’un vert froid et profond, elle fixait la fin du couloir et arborait son air habituel de femme sombre et distante. Morganna n’avait aucune envie que quelqu’un l’aborde et c’était très visible sur son visage délicat grâce à une expression qui donnait à ses traits un air tiré et peu appréciateur. Une chance qu’elle faisait dos à cette personne.

D’un coup sec, Morganna senti une main ferme et grande se fermer sur son épaule. La jeune femme cessa de respirer pendant une fraction de seconde. Ses yeux devinrent grands et une frustration soudaine l’envahie. Par après elle entendit pour la première fois la voix de cet inconnu derrière elle. C’était celle d’un homme. Ces traits devinrent de plus en plus cramoisies.

*Qui ose me toucher ainsi!!!!?? Qui OSE? Un homme bien sur….. saleté, SALETÉ! Et un simple Yo? D’une classe sans limite à ce que je vois! Que de galanterie et de bonnes manières par ici. Il me fait penser à tout ces homme de gangs de rue. Tous des salopards de premières ceux-là! Et que de bons souvenirs aussi… Pauvre Milan. Raaa, ça commence mal, très mal. J’espère qu’il n’est pas un de ces gigolo sur terre sinon je lui étampe mon poing à la figure sans cérémonie! Il va vite apprendre mes surnoms si ces le cas!

Aller je dois respirer, me calmer les nerfs faire quelque chose, car sinon je risque de me faire mettre à la porte avant même d’y être entrer. Mon but n’était que de me faire oublier ici. Alors détend toi, affiche un air plus joviale sinon il risque de partir à la course! Ce n’est rien, peut être est il toujours comme sa avec les gens, peut être ce m’éprend-t-il avec une autre femme…

Mouais aux cheveux bleu et avec des bagages en mains…très crédible pour se tromper. ARG!*

Après cette courte réflexion en elle même, Morganna réussi quand même a décrisper son visage pour revenir à un air neutre. Ces pieds qui avaient stoppés net, firent lentement volte face pour voir enfin le visage de cet homme qui n’avait apparemment aucun sens de la bienvenue. Tout en se retournant la manche fine de sa robe descendit le long de son bras vu que la main de cet homme restait agrippée à son épaule. Déposant ses bagages en même temps, Morganna lança un regard peu amène à son interlocuteur. Il était beaucoup plus grand qu’elle et mince. Ces bras trahissait sa maigreur par des muscles puissants très bien découpés. Il affichait un air complètement ennuyer mais ses yeux laissait entrevoir une lueur de curiosité non rassasié. Ses mains étaient grandes et ses doigts longs et osseux, mais il possédait très probablement une poigne très forte. Ces cheveux était raide parsemé de pique par ci et là. Il possédait un visage étrange mais qui dégageait quelque chose de charmeur avec deux yeux persans qui donnait l’impression qu’il vous transperçait, que vous n’étiez qu’une simple feuille d’acétate. Morganna réussit à poser un mot après avoir détaillé finement le visage de ce jeune homme.

-Bonjour…

Elle recula légèrement pour se sentir un peu plus alaise et retrouver son espace vital. Morganna en oublia totalement son épaule complètement dénudé.

*Il est bien étrange celui-là! Trop jeune pour être le directeur ou même un professeur… Il doit être un élève. Ce ne doit pas être un des sages étudiants de la place c’est sur! Avec l’aura qu’il dégage. Peut être a-t-il été délégué pour venir m’accueillir, ou non… il n’a peut être qu’entendu le bruit de la porte. De tout façon pour savoir qui il est il suffit de demander.*

-Hum… pardonnez moi mais qui êtes vous?

Tout en lui posant la question, Morganna replaça les mèches de ses cheveux tombées sur ses yeux. En attendant une réponse la jeune femme le fixa de son regard vide et froid tout en mordillant son anneau sur sa lèvre.

1000

[J’espère que t’aimes ça lire du n’importe quoi parce que Rusty est très bon pour se perdre dans sa tête et penser à tout plein de rien xD Et c'est le post le moins construit du monde que j'ai écrit de ma vie ! ]

Pendant qu’elle se retourne, mes yeux restent accrochés à son épaule dénudée. Ça ne dure pas longtemps, une ou deux secondes au maximum. Mon regard était sur son visage quand elle a terminé de se tourner, fidèle au poste. S’il y a bien une chose que j’ai apprise de mon père, c’est qu’il est important que les gens ne pensent pas dès le premier instant qu’on est un pervers fini. Il faut se montrer poli, faire une bonne première impression. L’effet de surprise est important. « Fils, quand la femme tourne les talons, tu lui retrousses ses jupons. » Mais ce n’est pas que pour cette raison que je conserve un certain sens des convenances.

• Un : C’est une journée « je me prélasse au soleil », pas une journée « remise en forme à deux ».
  
• Deux : Je ne culbute pas les filles que je ne connais pas. Qui sait où ça a traîné...

-Bonjour…

Mignon. Je parle de ses petites lèvres roses quand elle parle, de ce petit éclat brillant à cause de son piercing. Légèrement plus classe que les miens. Andrew dit que j’en ai trop et que, s’il était un bon directeur d’école, il les interdirait. Mais il ne le fait pas. Probablement parce qu’il apprécie bien celui que sa secrétaire a sur la langue. Nah, celui de la mignonne petite nouvelle est plutôt craquant. Le genre d’anneau qui vous donne perpétuellement un genre de demi-sourire. À moins d’être comme elle et d’avoir cet air apathique sur le visage.

La demoiselle recule. Visiblement, je lui bouffe son air. Ou alors c’est mon aura sublime qui l’oblige à reculer, éblouie. Ahah ! Vous y avez cru ? Ben voyons … je me prends pas au sérieux comme mademoiselle Princesse Peach. J’admets que j’en impose quelques fois, mais je fais jamais l’erreur de me prendre au sérieux. C’est Abi qui m’a appris ça, la chanteuse de mon groupe. À s’enfler la tête, on devient gonflant. Moi je le fais que pour la déconne. J’en vois déjà qui hurlent au blasphème et qui veulent me jeter la pierre mais bon … Si ça peut les amuser.

-Hum… pardonnez-moi mais qui êtes vous?

Du vouvoiement. Un large sourire s’étire sur mes lèvres minces. Il y a moyen de s’amuser avec ça. Ça fait longtemps que je ne me suis pas foutu de la gueule d’un nouveau. Bon, habituellement je fais le coup aux mecs, et pas aux femelles que je vais éventuellement sauter. Il y a un petit moment d’hésitation dans mon cerveau à savoir si je prends le risque ou pas de me faire refuser un coup pour plus tard. Oh et puis, la vie serait nulle sans risque. Et puis … Bon … Je prends un petit moment pour dire adieu à ma paresse au soleil et je m’avance d’un pas, main en avant. Mes doigts vont doucement effleurer son épaule pour remonter avec délicatesse la bretelle de sa robe. Gentleman ? Naaaaaah ! En faisant semblant de vouloir préserver sa pudeur, moi, j’évalue la douceur de sa peau. Froide, lisse, délicate. Une peau de femme comme on les aime. En voyant ma main sur elle, mes bracelets de cuir et la manche de ma veste, j’abandonne mon plan de me faire passer pour un surveillant. Ça a déjà marché, plusieurs fois, mais j’étais un tantinet mieux vêtu. Faut pas que je tente le diable, quand même. J’ai beau être très grand et paraître plus vieux que mon âge, elle verrait tout de suite que je me fous de sa gueule. Elle est mignonne, pas conne. Je hausse les épaules.

-J’m’appelle Rusty.

Sois maudit, prénom de malheur. Un jour je vais tuer Andrew pour m’avoir appelé comme ça. La plupart de mes amis m’appellent par mon nom plutôt que par mon prénom. Sérieusement, ce directeur a un sacré problème. J’aimerais bien savoir sur quelle drogue il était quand il a estimé que de me donner un nom de chien était une « idée géniale et carrément adorable ». Mouais … adorable quand j’étais gosse peut-être. Mais depuis que j’ai rencontré un Rusty le labrador, c’est terrible comme mon opinion a changé. Maintenant chaque fois que je me présente, je redoute le moment où on éclate de rire en disant « C’est marrant, c’est le nom de mon chien ». Mon père est un taré, définitivement. Il a gâché ma vie en m’appelant Rusty. Bon c’est pas tout à fait vrai … parfois je l’aime bien mon nom. Il sonne très bien quand une fille le gémit à mon oreille en me griffant le dos et en serrant ses jambes autour de moi et …

-T’as fait un boucan de la mort en entrant. J’ai cru que quelqu’un était tombé.

Mouais, c’est ça Rusty. Tu t’inquiétais. Bien sûr… Si quelqu’un tombait, tu serais le premier sur les lieux juste pour voir de quoi ça a l’air, un cerveau qui frappe le sol en tombant de l’étage. Je hoche la tête pour moi-même. C’est vrai. Non, j’avais bien compris que c’était la porte qui avait fait ce bruit. Je suis pas con quand même. Quelqu’un qui tombe, ça fait plus « sprotch » ou « pouhm » dépendant de la hauteur … pas « clac » ni « vlan ».

-Tu dois être neuve. T’as besoin de quelqu’un pour te montrer l’chemin ?

Andrew va être déçu. Normalement, il s’arrange pour être celui qui accueille les jeunes demoiselles dans l’école. Il aime bien être le premier à pouvoir admirer les nouvelles beautés locales. Mais cette fois c’est mon tour de me rincer l’œil en premier. Et plus je la regarde, plus cette fille devient un coup potentiel. Elle a un physique intéressant. Resterait plus qu’à voir si elle a le caractère qui me plait. Mais bon, j’en demande pas beaucoup. Si le body me convient, le reste est seulement accessoire.

-Ton nom c’est quoi ?

Je vais quand même pas l’appeler femelle. La dernière fois que j’ai fait ça, je me suis pris une gifle.